Toujours à la pointe de l’innovation et de la qualité d’image, Canon est la valeur sûre en matière de qualité de fabrication et de qualité d’image à l’instar des camescopes mini DV Panasonic. Choisir un matériel dans la gamme de caméscopes mini DV Canon c’est l’assurance de ne pas se tromper, et les professionnels du reportage ont souvent choisis le camescope Canon XL1 comme appareil de prédilection pour la prise de vue.
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Vos cassettes mini DV dorment peut-être dans une boite au fond d’un placard et prennent la poussière. La bande magnétique qu’elles contiennent est sensible au vieillissement et il est préférable de faire réaliser une numérisation mini DV pour préserver les précieux souvenirs qu’elles contiennent. Vous aurez une sauvegarde sur disque dur, vous pourrez facilement partager et visualiser vos meilleurs moments en famille.
Pour se démarquer des camescopes mini DV Canon, Sharp doit innover et défriche des terrains inexplorés par ses concurrents. Ainsi les caméscopes numériques DV Sharp sont toujours des matériels à l’ergonomie ou la technologie innovante, qui sont parfois repris par des concurrents comme Sony qui manque parfois cruellement d’imagination.
Canon s’appuie ici sur un équipement dépouillé et destine cet appareil aux puristes qui se concentrent sur la qualité audiovisuelle, l’accessibilité de la prise de vue et des réglages. Compact, mais pas trop, avec 650 grammes nus, le Canon MV30 ne prétend pas être le caméscope numérique le plus miniaturisé. En retour, il offre une excellente opérabilité, et surtout, un bel écran de 8,9 cm.
Canon est revenu à l’architecture classique avec son nouveau caméscope numérique DV. Mais le Canon MV 10 ne manque pas de moyen pour se démarquer de la concurrence.
Canon nous avait habitué à des formes originales. Entre le Canon MV1 (similaire à un appareil photo reflex) et le MV100 (un appareil photo différent des années 60), on s’attendait à une surprise. Cette fois, le fabricant a décidé d’utiliser un design très classique. Vue de l’extérieur, il ne diffère pas de ses concurrents.
Tout le monde connaît le Canon XL1 / XL1S, un caméscope DV numérique semi-pro connu pour sa durabilité incroyable ! Après 7 ans de bons et loyaux services, il a cédé la place au Canon XL2, plus dans l’air du temps.
Ce caméscope numérique complet de 3,55 kilogrammes conserve le charme de ses prestigieux aînés. Il se transforme en épaulière tout en conservant sa singularité, voici le secret de sa longévité. Les fameuses optiques interchangeables.
Le Canon MV750i est compact et léger, ce qui en fait le caméscope numérique DV d’entrée de gamme le plus complet de la série MV700 de Canon. Les appareils de cette série varient en fonction de l’optique, de la présence d’une carte SD, du port USB, de la sortie Y/C et de l’entrée vidéo.
Un résultat probant pour le premier DV de la marque, avec une ergonomie excellente rappelant celle des appareils photo à viseur de poitrine. Canon a su résister à la tentation du menu à tout faire dans lequel il faut fouiller pour trouver le débrayage nécessaire à la situation (pratique en plein tournage !). Son menu concerne les fonctions secondaires. Pour le reste (mise au point, exposition, Flexizone), le Canon MV1 exploite un système de molettes. Un choix intelligent. Côté viseur couleurs, Canon nous avait habitués à mieux, 132.000 pixels sur modèle aussi ambitieux, c’est maigre. Très fonctionnel, l’écran n’offre pourtant pas toute la souplesse d’un écran latéral aux angles d’inclinaison plus variés et capable de se tourner vers le sujet.
La qualité du mode Photo se révèle supérieure à celle de la concurrence (celle d’un appareil photo numérique milieu de gamme). Autres atouts, le stabilisateur optique, la prise DV et la prise flash (avec mesure TTL).
Sur le prototype, la définition de l’image nous a paru excellente. Mais ce point reste à vérifier sur un modèle de série.
Le deux-en-un photo-vidéo par excellence, à l’ergonomie très réussie. Destiné aux vidéastes avertis qui souhaitent exploiter les nombreux réglages dans de bonnes conditions.
CV 110
Avec son allure d’appareil photo compact (regardez côté Ixus), ce camescope numérique Canon développe un concept original.
A priori le Canon MV100 se contente d’un simple écran dorsal pour la visée. Sauf que rien n’interdit, en cas de luminosité excessive de coiffer celui-ci d’un adaptateur, le transformant en un tournemain en un confortable viseur. Ce petit accessoire fourni se « clippe » facilement sur l’écran. Une trouvaille astucieuse et économique puisqu’elle permet de réduire l’encombrement et le coût du camescope sans nuire au plaisir du tournage. Avec 180 000 pixels, l’écran couleurs en question se révèle très précis et surtout plus mobile que celui du MV1 puisqu’il se redresse et se retourne complètement vers le sujet pour permettre l’autofilmage (façon SC100). Enfin sortie DV, prise Lanc, vitesse lente d’enregistrement figurent au programme, mais on se contente, compacité oblige, d’un stabilisateur numérique plutôt qu’optique. L’appareil est livré avec un chargeur double, mais une seule batterie. Dommage, car son autonomie est très limitée.
Une ergonomie d’appareil photo compact version camescope DV. Le MV100 se démarque de ses concurrents dépourvus de viseur, par son astucieux écran transformable.
Canon sort l’artillerie lourde avec ce caméscope numérique tri-CCD exceptionnel aux caractéristiques inédites ou rares en DV. D’abord ses objectifs interchangeables permettent, entre autres, le zooming manuel.
Ensuite son entrée DV évite l’achat d’un enregistreur aux adeptes du montage virtuel. Enfin, on apprécie sa sophistication en matière d’enregistrement sonore. Il offre, en effet, le réglage indépendant des niveaux audio de 2 micros stéréo ou du micro et de l’entrée ligne (très pratique pour l’enregistrement d’un concert à partir de la sono + commentaires par exemple). De plus, il restitue une qualité sonore bien supérieure à celle des autres DV. Non seulement, la richesse des débrayages comble ceux qui souhaitent tout contrôler, mais l’abondance des semi-automatismes apporte des réponses adéquates aux situations spécifiques. Côté ergonomie, le Canon XL 1 bénéficie d’un concept novateur, c’est le premier modèle de poing transformable en épaulière grâce à une patte amovible. Enfin, l’image est excellente avec un beau piqué (530 points-ligne de définition) et une riche colorimétrie.
Ce très haut de gamme se destine aux experts, voire aux professionnels, même s’ils lui adressent quelques reproches, dont sont exempts les matériels Broadcast plus couteux. Un prix toujours justifié en regard des possibilités uniques.
Avec ce caméscope numérique tri-CCD, Canon entend bousculer le Sony TRV900. Il a équipé son « guerrier » d’un objectif de série L, réservé aux appareils photo pros.
Résultat, une superbe image de plus de 530 points ligne, servie par une très belle colorimétrie bien équilibrée. Côté audio, pas de réglages du niveau d’enregistrement. Mais, contrairement au TRV900, le micro n’est pas intégré dans la coque, ce qui limite les bruits de fonctionnement et assure une restitution sonore supérieure. Très bon confort de tournage, grâce à l’ergonomie étudiée et la poignée de transport, qui supporte les doubles commandes de marche arrêt et zoom. Il est plus volumineux que ses rivaux directs, mais nous avons rarement obtenu des images aussi stables. Le stabilisateur optique y contribue. A noter, le zoom optique ×20, l’entrée/sortie DV et la possibilité de régler la colorimétrie. Sa focale minimale 37 mm est un poil plus courte que celle du TRV900. Mais, bien que l’image ne fourmille pas en basse lumière, le Canon XM1 est moins sensible que le Sony, il est dépourvu d’entrées analogiques, et comporte un écran moins vaste (6,35 cm).
Le Canon XM1 remplit parfaitement l’essentiel du contrat, avec une restitution vidéo et audio très haut de gamme. Il bénéficie d’une ergonomie bien pensée et de réglages nombreux et accessibles. Voilà qui rend le match avec le TRV900 serré.
Le Canon MV20 oppose aux autres caméscope numérique DV hyperminiaturisés un stabilisateur optique des plus efficaces autorisant des mouvements très coulés.
Côté définition, on atteint les 500 points-ligne, pour une image très « propre ». De fait, parmi les modèles « verticaux », il l’emporte pour le piqué et la colorimétrie. Côté audio, en revanche, le niveau d’enregistrement sonore est un peu faible. Le reste répond bien aux attentes du consommateur exigeant : écran de qualité, mode Progressive Scan pour améliorer la netteté des images fixes, autofocus précis et rapide, nombreux débrayages. Ses dimensions sont légèrement supérieures à celles des autres « verticaux », mais la prise en main n’en est que meilleure. L’autonomie (une quarantaine de minutes en tournage réel) est un peu inférieure à celle des autres minis en raison de la consommation du stabilisateur optique. Choix contestable, Canon a implanté ses prises micro, casque et Lanc sur une base optionnelle. Enfin, identique en tous points, le MV20i, 2.000 F de plus, bénéficie d ‘une entrée/sortie DV très prisée des adeptes du montage virtuel.
Il s’est distingué par sa qualité d’image lors d’un récent comparatif entre DV hyper-miniaturisés. De plus, malgré sa compacité, il intègre un stabilisateur optique haut de gamme : un petit exploit technique et un vrai « plus » pour le vidéaste. Un beau compromis performances-prix.
Les camescopes numériques DV entrée de gamme, n’ont rien de modèles au rabais. Pour preuve le Canon MV200.
Cumulant écran et viseur couleurs, il bénéficie du stabilisateur optique, véritable Joker de la marque. Autre particularité : le Flexizone, pour ceux qui veulent s’affranchir des automatismes, mais que rebutent les réglages manuels (présents pour qui le souhaite). Le zoom ×16 attaque avec un semi-grand-angle, correspondant à un 35 mm photo. Appréciable quand on manque de recul. Bonne image, avec une définition de 500 points ligne, mais le résultat paraît moins piqué et le Smear plus prononcé qu’avec le Canon MV20. La colorimétrie se révèle très vivante en extérieur, mais tend vers un peu vers le jaune en intérieur, surtout peu éclairé. L’autofocus se comporte bien. La sensibilité est supérieure à celle de certains DV situés dans la même gamme de prix (les DVL20/30/40 de JVC, par exemple). La batterie se recharge dans le camescope, et le bloc d’alimentation, très compact encombre peu en déplacement. Notez la table de montage 20 séquences. A 9.000 F, son jumeau, le MV200i a l’entrée DV.
Très bon plan ! Il est passé à deux doigts du Top. Il réplique aux Sony TRV310 et JVC DVL30 par un stabilisateur optique et un viseur couleur. Peu riche en effets, il est fourni sans le kit multimédia du JVC, mais se rattrape par une ergonomie plus conviviale et un semi-grand-angle.
Le Canon MV400i se distingue d’emblée par une compacité supérieure et une esthétique plus raffinée que ses compétiteurs. Des touches rétroéclairées en bleu, cyan ou vert, au tournage comme en lecture, ajoutent une note design. Naturellement, rien n’interdit de les éteindre.
Danielle Molson – juillet 2001
Le plus esthétique, mais aussi le plus agréable à balader et à utiliser de cette sélection. Fonctionnel et compact, il s’emporte facilement. Il se signale par un accès aisé aux réglages. La batterie fournie est l’une des plus confortable du comparatif.
Les menus les plus fonctionnels de ce petit club. L’absence de touche contre-jour manquera à certains. Le stabilisateur dégrade un peu l’image en basse lumière, mais l’autofocus est efficace et la balance des blancs automatique gère mieux qu’ailleurs les situations difficiles. 5 modes AE.
Un capteur ¼ de pouce, un peu moins riche en points photosensibles que d’autres caméscopes numérique DV (540.000 pixels). Un zoom ×10, dépourvu de grand angle (autour de 43-45 mm minimum en équivalent photo), mais très souple.
Entre 460 et 480 points-ligne de résolution horizontale, d’où des arrière-plans moins «fouillés» qu’avec le JVC par exemple. En contrepartie sa sensibilité est supérieure à celle des rivaux, avec des couleurs plus vives dans des conditions d’éclairage défavorables.
La qualité audio du Canon MV400i est desservie par l’enregistrement d’un bruit continu, plus perceptible qu’ailleurs. Mais, on n’entend pas de bruit de zooming et il reste discret durant le tournage. Il possède une prise spécifique et une griffe porte-accessoires pour installer un micro externe mieux isolé.
Un potentiel remarquable puisque le Canon conjugue entrées DV et analogiques. Ces dernières lui permettent notamment de copier en numérique DV des rushes analogiques pour mieux les conserver ou les exploiter en montage virtuel.
Peu de fonctions secondaires, sinon les volets et fondus au noir et mosaïque et les filtres : solarisation, monochrome, sépia, mosaïque, noir et blanc. Trois modes multi-image.
Si son ramage se rapportait à son plumage, il nous comblerait. Cela dit, les plus exigeants lui grefferont un micro externe. Et il est le seul à posséder des entrées DV et analogiques.
CV 151