Avec un éditeur deux sources, le monteur fait preuve de plus de créativité. Il peut en effet alterner les séquences provenant de plusieurs cassettes de rushes (montage multicassette). Le matériel de post-production vidéo intègrent même un mélangeur vidéo pour créer des fondus-enchainés entre deux séquences.
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Pier-Yves Menkhoff – janvier 1998
Les matériels testés acceptent au moins deux sources et jusqu’à quatre pour le Videonics AB-1. C’est à dire qu’ils sont capables de gérer au moins deux lecteurs. Attention, à l’exception du plus coûteux, le GSE MPE 2000 Pro (16 500 F), ils ne réalisent pas seuls le mixage d’images. Pour obtenir des effets de type fondu-enchaîné, par exemple, il faut les associer à un mélangeur. La présence sur tous ces appareils de prises GPI (General Purpose Interface) permet à ces pupitres de piloter le dit mélangeur. Outre les fonctions de montage, certains éditeurs de cette sélection cumulent différentes fonctions, comme le titrage, le mixage audio, la correction de couleur, utile dans le cas d’une numérisation de cassette vidéo, ou la génération d’effets numériques . C’est le cas des Roll Master SE200 et Hama VideoCenter 230 CTI. Cas particulier : le MPE 2000 Pro, produit tout-en-un, très complet, qui comme on l’a vu, intègre de surcroît une fonction de mélangeur vidéo. Hormis ce modèle, il faut penser les autres éditeurs dans une configuration permettant d’exploiter au mieux leurs atouts.
Ainsi, le Roll Master SE 200 (4.500 F) doit nécessairement s’allier à un TBC double entrée comme le TBC 2000 (4.500 F) pour offrir le mélange d’image. Le Hama VidéoCenter 230 (7.700 F) s’apparie avantageusement au mélangeur Hama DVM-1000 (6.500 F), qui offre aussi les Luma et Chroma Key et des possibilités audio évoluées. Enfin, le Videonics AB-1 (7.000 F) trouvera son complément idéal dans le Videonics MX1 (1.1000 F), un mélangeur d’une extrême richesse doté d’un double TBC, et proposant quelque 239 effets ainsi qu’un Chroma Key aux contours parfaits. On pourra simultanément lui adjoindre un titreur et faire fonctionner les trois appareils ensemble. Cela dit, n’importe quel mélangeur ou titreur doté de GPI peut se marier avec cet éditeur.
La configuration la moins chère n’est pas forcément la moins créative. La différence de prix se justifie par une définition d’images supérieure à 500 lignes et/ou une ouverture vers l’institutionnel ou le Broadcast (connectique RS-232C/RS422, plusieurs GPI, effets, etc.).
Pour toutes les configurations précitées, le lecteur et l’enregistreur doivent être en Pal, quel que soit le format ou système (composite, Y/C ou DV). Seul l’AB-1 peut gérer le Secam, puisque le signal vidéo ne transite pas par lui. Mais on perd alors le bénéfice du montage au time code et la gestion du mélangeur MX1 (Pal).
L’affichage des menus est de type interactif (sur moniteur). L’anglais est de rigueur avec Roll Master et Videonics et le français avec les Hama et GSE nouvelle version. C’est simple, il suffit de suivre la logique des menus et sous-menus. Seule exception, le Videonics, qui présente une fenêtre d’affichage, hélas restreinte, de type LCD.
Tous pilotent par câble les lecteurs Sony (et modèles dotés de prise Lanc) et Panasonic. Ils gèrent les autres appareils par infrarouge. Petite exception, le Roll Master, qui ne connaît pas l’infrarouge. Ils sont tous capables de piloter 1 ou 2 lecteurs de manière indépendante, et jusqu’à 4 pour le Videonics. Attention toutefois, il s’agit d’une gestion alternée et non pas simultanée, à l’exception du GSE MPE-2000 Pro. Le fondu-enchaîné ou A/B Roll n’est donc pas au programme sans l’ajout, comme on l’a vu, d’un mélangeur par la connectique GPI. En revanche, on peut monter avec deux lecteurs proposant chacun un time code différent : VITC dans un cas, RCTC ou SMPTE dans l’autre.
Videonics est le seul à accepter les matériels institutionnels et Broadcast par sa connectique RS-232/422C. Il permet de piloter des magnétoscopes professionnels possédant des fonctions particulières comme le Split Audio. Même si l’on ne se sent pas concerné dans l’immédiat, on se réserve ainsi la possibilité d’opter pour un format évolué comme le DVCPro ou Beta SX, par exemple, sans avoir à changer son éditeur.
La configuration lecteur-éditeur suit la même logique avec Hama, GSE et Roll Master. Il suffit de chercher la marque et la références du matériel dans une liste intégrée à l’éditeur. GSE offre en bonus le pilotage d’un lecteur CD par infrarouge. La sélection s’effectue avec la bague Jog/Shuttle ou avec les flèches directionnelles du curseur Control.
Avec l’AB-1, le paramétrage se révèle un peu plus ardu puisqu’il faut saisir le code relatif au protocole de ses lecteurs et enregistreur, ainsi que le code correspondant au temps de Preroll. Pour aider le vidéaste, Videonics fournit un tableau très complet dans son mode d’emploi. Sans connectique spécifique de montage, la configuration infrarouge devient indispensable. Il faut donc inculquer aux différents éditeurs les éléments de base (lecture, pause, arrêt, retour rapide, avance rapide). Contrôler les commandes de chacun des appareils prend quelques minutes. Il faut enfin calculer les temps de Preroll et Postroll de l’enregistreur.
GSE et Hama sont les seuls à tenir compte des matériels à fonctions cumulées disposant, par exemple, d’une seule et même touche pour la Pause et le Stop, comme c’est le cas des magnétoscopes Philips et Thomson.
Après la configuration des matériels, les éditeurs proposent de choisir le mode de montage (partout : VITC, RCTC/SMPTE, compteur). GSE offre aussi le Rapid Time Code, propre au magnétoscope Mitsubishi E-82 qui inscrit directement un TC sur des rushes S-VHS.
De même, Videonics reste l’unique modèle à proposer le LTC (Longitudinal Time Code). A défaut de rushes time codés, on peut créer avec tous les modèles une copie de travail pour un montage tout aussi précis.
Le calcul du Preroll et du Postroll est primordial et ne doit en aucun cas être négligé quelle que soit la marque de son matériel. C’est cela qui détermine l’inertie de l’enregistreur, c’est-à-dire le temps qu’il lui faut pour réagir à un ordre donné par l’éditeur. Le mode de calcul est automatique avec GSE et Hama. Avec Videonics et Roll Master, il demande une petite intervention de l’utilisateur. Le temps de réglage peut varier entre quelques minutes (Hama, Videonics, Roll Master) et près de 12 minutes avec GSE.
Avec Roll Master et Videonics, les modes Pause Delay/Record Delay ou Tuning font appel à des ajustements qui frisent le tâtonnement.
Relativement classique chez Roll Master et GSE, la connectique lecteur et enregistreur se compose de prises Cinch pour les signaux audio et vidéo composites et Ushiden pour le signal vidéo Y/C.
Le MPE-2000 Pro est le seul à posséder un emplacement pour connecteurs DV optionnels. Il faudra attendre toutefois leur commercialisation pour apprécier la qualité du signal.
Du côté Hama, on trouve des prises Péritels pour une des deux entrées, la sortie et le moniteur de contrôle.
Chez Videonics, les signaux ne transitent pas par l’AB-1, un avantage qui évite toute dégradation de l’image vidéo. Avec cet éditeur, les signaux vont directement du lecteur vers l’ enregistreur, sauf si un mélangeur, indispensable pour traiter plusieurs sources en même temps, s’intercale. Cela dit, en choisissant le MX1, qui laisse passer 500 lignes de définition, on ne constate quasiment aucune perte, même en DV, si l’on exploite les prises Y/C. Enfin, l’ AB-1 présente cinq connecteurs au cas où la (les) source(s) intègre(nt) un signal VITC (puisque ce time code est enregistré sur la même piste que l’image).
Pour un doublage son, chaque éditeur (excepté Videonics) est muni d’une entrée audio ainsi que d’une prise micro stéréo. Une prise casque permet le contrôle du mixage chez Roll Master, Hama et GSE. Dommage que le réglage du volume du casque (à l’arrière) soit si mal placé sur le SE-200.
Les bornes GPI ne sont pas oubliées. Videonics fait mieux que les autres avec 2 GPI. Une GPI-M pour les effets de transition et une GPI-T pour les pages de titres. Indispensable en configuration AB-1 + mélangeur + titreur. C’est ce qui permet à la table de gérer simultanément ces deux périphériques, là ou ses concurrents n’en pilotent qu’un. Seul, Hama se démarque avec une prise non normalisée. Elle se nomme Extern, et n’est compatible qu’avec les produits de la marque comme le titreur VidéoScript 250, le processeur d’effets AV128 ou le mélangeur DV-M1000. Pour les autres mélangeurs (Sony, Videonics, etc.), il faut acquérir les câbles 40417 et 43371 pour déclencher des effets programmés.
Aucune des tables n’est évolutive à l’exception du MPE-2000 Pro. GSE est le seul fabricant qui permet de modifier son système par le simple remplacement d’un EPROM pour quelques centaines de francs sans avoir à revendre son éditeur pour une version plus récente. GSE offre aussi la possibilité d’inclure une connectique DV pour une duplication ou un montage sans perte sitôt qu’elle sera disponible. Il faudra débourser 14000 F pour deux prises DV (une pour le lecteur, une pour l’enregistreur), et 16500 F pour 3 prises DV. C’est cher mais l’absolu n’a pas de prix. En attendant, le MPE-2000 Pro bénéficie désormais d’améliorations comme un menu en français, le mode Insert audio, un nouveau titreur français avec clavier AZERTY, de nouvelles polices et de nouveaux effets.
Avec Hama, Videonics et GSE, la recherche des points In/Out s’effectue à vitesse normale, en accéléré, voire image par image avec la bague Jog/Shuttle. Elle offre un égal confort sur tous les éditeurs.
Seul le Roll Master opte pour un système de touches de commande. Cette démarche particulière ralentit l’édition, mais offre une sélection des plans tout aussi précise.
GSE propose la programmation de 400 séquences pour un même montage. Hama et Videonics se limitent à 250 plans (ou events pour l’AB-1).
Astucieux, le SE-200 gère 99 plans sur quatre listes différentes. C’est suffisant et n’oblige pas à sauvegarder un premier montage quand on souhaite en commencer un nouveau.
La sauvegarde de la liste de montage (partout permise) permet de corriger ultérieurement son travail ou tout simplement créer un nouveau master.
Avec GSE et Hama, elle s’effectue sur cassette vidéo et inclut les pages de texte, les réglages et les effets.
GSE prévoit à court terme la sauvegarde sur disque dur ou disquette (en attendant on peut déjà sortir sa liste de montage sur imprimante PC). Hama le propose déjà en option avec le gestionnaire PC-Edit 230 (réf. 44636) pour compatibles PC. Roll Master et Videonics préfèrent sauvegarder dans leur mémoire bien que le second puisse le faire sur disquette PC. Le mode Export de l’AB-1 transfère toutes les informations relatives au montage. Le mode Import réintègre les informations dans l’éditeur.
Le mode Assemble ou Définition des plans présélectionne X séquences dans un ordre choisi à partir de l’un ou l’autre des lecteurs. Une pression sur le lecteur (Player A, ou Player B) place automatiquement l’appareil en Pause/Lecture. Il ne reste plus qu’à choisir les points d’entrée et de sortie dès l’apparition des premières images avec leur TC.
Commun à GSE et Videonics, le mode Insert remplace une séquence sur l’enregistreur à partir d’un lecteur A ou B. En principe, il n’est pas possible de choisir entre le son et l’image. Toutefois, dans la pratique, il suffit, sur le GSE, de placer le curseur du son à zéro pour obtenir un insert vidéo.
Les quatre tables de montage permettent de corriger les points d’entrée et de sortie d’un plan, de le déplacer, ou d’intervertir deux séquences. De même, on peut tout aussi bien copier, supprimer, modifier, voire programmer un fondu-enchaîné ou un effet souhaité.
Après la programmation des plans et quel que soit l’éditeur, il est recommandé de prévisualiser sa sélection séquence par séquence ou en totalité. Attention toutefois, le Preview n’autorise pas l’enchaînement des plans avec les fondus et/ou volets programmés et il s’effectue uniquement à vitesse normale. Videonics, quant à lui, affiche aussi une indication correspondant à la programmation d’un fondu-enchaîné ou d’un point GPI.
Lors de notre test, la précision au time code a varié entre 1 et 4 images, quel que soit le lecteur employé. La précision à l’image près n’est pas primordiale dans la plupart des cas. Elle se justifie par exemple, lors d’un spectacle de danse dans lequel un simple mouvement de bras peut prendre moins d’une demi-seconde. Pour les possesseurs de rushes non time codés, mieux vaut effectuer une copie de travail time codée pour éviter tout glissement de bande au fur et à mesure de l’assemblage final. Sans TC, il n’est pas rare d’avoir un décalage de 1 à 2 secondes au bout d’une vingtaine de plans.
Petite précision, une copie de travail sert uniquement à la sélection des plans et non pas à l’assemblage final.
Les GSE, Hama et Roll Master contiennent un correcteur de couleur pour régler chacune des scènes en contraste luminosité, saturation et couleur (RVB). Hama est le seul à proposer un Splitter (diviseur d’écran) qui offre le contrôle sur un téléviseur avant et après la correction vidéo. Videonics privilégie une configuration homogène séparée (AB-1 + MX1 + TM-2000/3000). Certains effets sont absents tout comme le titrage et la correction couleur.
Sur le GSE, on peut effectuer un fondu audio entre les sources A et B avec l’ajout simultané d’un son extérieur préprogrammé avec pilotage d’un lecteur CD par infrarouge. Chaque entrée (A, B, micro, lecteur CD) est paramétrable et réglable (grave ou aigu). Les VideoCenter 230 et SE200 sont moins bien pourvus dans ce domaine. ils disposent malgré tout d’une section audio permettant de les utiliser comme mixette pour pouvoir, au moment du montage final, ajouter un commentaire ou une musique avec un magnétoscope doté de la fonction doublage son.
GSE, Roll Master et Hama possèdent trois curseurs linéaires pour nuancer le volume des sources et de l’enregistrement.
Petit plus, le SE-200 inclut un VU-mètre qui informe du niveau d’enregistrement et offre un micro avec son éditeur. Sur l’AB-1, rien n’a été prévu pour le son, il faut ajouter à la table une petite mixette audio.
Le titreur du MPE-2000 Pro offre 9 polices avec une programmation indépendante possible sur chaque ligne du générique. Il exploite 700 couleurs et 8 bordures. Le clavier est français, AZERTY, rendant possible tout type de ponctuation comme les accents graves, aigus, tréma, etc.
Tout comme GSE, Hama limite sa mémoire à 20 pages de texte et la comparaison s’arrête là. Avec une seule police et un jeu de 240 caractères, on frôle l’indigence avec le VideoCenter.
Roll Master fait mieux avec 99 pages offrant un maximum de 2600 caractères mémorisables. Les polices limitées à 3 rappellent malheureusement les caractères que l’on trouve chez Sony et Panasonic avec des angles coupés ou un aliasing prononcé. Pourtant, qui peut le pire, peut le génial, puisque Roll Master permet de créer son propre alphabet. A partir d’une police classique, le monteur ajoute ou retire un pixel à l’intérieur ou à l’extérieur de son caractère. Les modes de défilement sont classiques avec le Crawling (déplacement horizontal), le Rolling (déplacement vertical) et la possibilité de passages en boucle.
Avec l’ajout d’un mélangeur, le vidéaste prend possession d’un domaine longtemps réservé aux professionnels. Trois des quatre éditeurs sont munis d’une prise GPI que l’on trouve sur les mélangeurs, et c’est une impulsion programmée du premier qui lance l’effet sur le second. Le SE-200 de Roll Master nécessite absolument la présence d’un TBC pour devenir un vrai mélangeur. Avec le TBC-2000 de la marque on peur ainsi réaliser des fondu-enchaînés, et appliquer à deux sources tous les volets et fondus qu’offre le Roll Master en solitaire.
Avec GSE, ainsi que les mélangeurs Videonics MX-1 et Hama DV-M 1000, on trouve des effets de transition de type A/B Roll ou A/A Roll. A défaut de second lecteur, un fondu A/A Roll fige la dernière image d’une séquence programmée dans une mémoire de trame pour la mixer avec une nouvelle séquence.
En solitaire, le Roll Master habille les transitions avec 24 effets de volets et fondus de durées non paramétrables. Il propose aussi 24 animations (disparition ligne par ligne d’un titrage, etc.). Hama fait mieux avec 30 effets de volets et un choix de 8 couleurs à vitesse variable. Pour jouer la surenchère, GSE offre un bonus de 42 effets sur 490 teintes. Il inclut la fonction Chroma Key. Il suffit de filmer son sujet sur un fond bleu, rouge ou vert pour effectuer ensuite une superposition sur une image provenant d’un source B. En mode Luminance Key, la découpe s’effectue à partir d’un fond noir ou blanc et non d’une couleur. Parmi les inconvénients du second mode, la création de zones transparentes dans l’image si celle-ci possède des parties… blanches ou noires.
Pas d’effets avec l’AB-1, mais le MX1, auquel il peut entre autres s’associer, offre d’excellents Luma et Chroma Key, le P in P et plus de 200 effets (solarisation, négatif, etc.) et volets avec affichage des quatre sources potentielles sur un seul moniteur.
Enfin, le DV-M1000, que nous préconisons avec le Videocenter 230, propose aussi Luma et Chroma Key, quelques effets (peinture, stroboscope, etc.) et offre jusqu’à 64 volets et fondus.
On aime Hama et GSE pour leur facilité d’emploi, leur logique de manipulation et l’affichage des menus sur écran.
Avec GSE, tout tombe bien sous la main. Lecteur à gauche, enregistreur à droite, fonctions de montage et créatives au centre et menus sur écran.
Le GSE offre 500 lignes de résolution. L’AB-1 fait mieux puisqu’aucun signal ne transite par lui.
Un plus au GSE qui permet un fondu entre les sources A et B avec ajout d’un son externe préprogrammé et pilotage d’un lecteur CD par infrarouge.
GSE, le plus complet des « tout-en-un » (mais un gros investissement d’un seul coup). Videonics pour le pilotage possible de 4 sources et les deux prises GPI permettant de gérer simultanément un mélangeur et un titreur.
Videonics et GSE. Elle ouvre la voie au DV avec l’option IEEE 1394 pour le second. Dommage qu’elle coûte si cher. Avec l’AB-1, cette option est inutile.
Tous ex aequo. La précision au TC varie entre 1 et 4 images, quel que soit le lecteur.
Si on y met le prix : le GSE. Sinon, le SE 200 pour son titreur, ses transitions et le mixage son. Le Hama n’est pas loin derrière, mais le titrage n’est pas aussi évolué.
Très complet pour son prix, le SE 200 l’emporte. Excellent rapport qualité-prix au couple VideoCenter 230/DVM-1000 de Hama. GSE est cher, mais l’investissement est justifié au regard de ses possibilités. L’achat de l’AB-1 se défend, surtout si l’on souhaite exploiter pleinement le mélangeur MX1 et utiliser les deux GPI.
cv 112