Avec le JVC GR-45, le caméscope VHS-C JVC compact est encore allégé par le choix du format VHS-C. Compatible avec le VHS standard automatique, il est doté de fonctions d’assistance au montage et pilote le magnétoscope qui lui est raccordé. C’est le fleuron de la gamme du « prêt à filmer ».
Christian Bernard – juillet 1988
Le VHS-C, format dérivé du VHS, utilise la même largeur de bande ½ pouce mais dans le cadre d’une cassette beaucoup plus compacte. Il a su séduire un grand nombre d’amateurs vidéo : en 1987, les ventes de camescopes VHS-C ont représenté presque la moitié du marché français. JVC, l’inventeur des deux formats, a réalisé sous sa propre marque un score d’environ 27 % des ventes totales de camescopes en France. Le JVC GR-C7, lancé à la fin de l’année 1986 et commercialisé réellement au début de l’année 1987, a été un produit-phare diffusé sous un nombre considérable de marques.
Le format VHS-C présente de nombreux avantages. L’utilisation d’une cassette très compacte, de la taille d’un paquet de cigarettes, a permis de miniaturiser considérablement les dimensions du magnétoscope intégré et de réaliser des camescopes de poing, légers et peu encombrants. C’est, sans conteste, un atout considérable pour une utilisation itinérante et dans le cadre des loisirs en général. Par sa miniaturisation, le camescope est devenu un objet passe-partout, au même titre que l’appareil photo ou le baladeur.
Autre atout du format VHS-C : sa compatibilité avec le VHS standard et la possibilité de lire les cassettes compactes sur un magnétoscope de salon grâce à un adaptateur mécanique. Ajoutons à cela que les camescopes VHS-C sont livrés en version française au standard SECAM, ce qui simplifie les connexions avec le téléviseur. Il n’est pas nécessaire, comme avec les modèles 8 mm, de recourir à un récepteur bi-standard ou d’utiliser un transcodeur. Le GR-C7 de JVC a été le premier camescope VHS-C doté d’un capteur CCD, d’un zoom puissant de rapport 6× et offrant d’excellentes performances malgré une grande simplicité d’utilisation.
Le lancement de produits dérivés du GR-C7, simplifiés et plus compacts, du type « video pocket » comme le JVC GR-C9 et le JVC GR-C11, a permis à JVC de proposer à une clientèle de nouveaux venus à la vidéo des appareils accessibles à tous, même aux enfants. L’allègement de poids et de prix de ces nouveaux types de camescopes de poche s’est imposé au détriment de la fonction « lecture » du magnétoscope intégré, qui a disparu totalement. Résultat : la limitation des possibilités de contrôle d’enregistrement et de lecture directe à partir du camescope est un handicap qui fait souvent préférer un modèle plus complet.
Avec le nouveau camescope JVC GR-45, ce fabriquant a choisi précisément d’élargir sa gamme vers le haut en proposant un appareil comparable au GR-C7 mais doté de fonctions additionnelles et offrant des performances accrues. Le JVC GR-45 ne se substitue pas au GRC7 mais complète la gamme JVC VHS-C. Le plaisir de la vidéo ne commence-t-il pas par celui de l’esthétique et de l’ergonomie du camescope ? D’un design très réussi, il conserve un air de famille avec le GR-C7 mais sa forme est plus épurée, plus affinée. Plus compact, il est aussi plus léger (1,2 kg). Le GR-45 a conservé les couleurs noir et rouge qui se marient très harmonieusement ; le rouge pour la partie magnétoscope et le noir pour l’élément caméra.
Cette nouvelle esthétique n’est pas gratuite mais fonctionnelle. Dès la première prise en main, on apprécie la position très naturelle des touches de fonction et le très bon équilibre de l’appareil. Il s’agit bien sûr d’un camescope de poing. La main droite repose sur une poignée solidement maintenue par une dragonne réglable afin d’éviter les risques de bougé. La stabilité, sans être comparable à celle d’un camescope d’épaule, est très satisfaisante pour un appareil de ce type. La Video Movie JVC GR-C45 a reçu un nouveau capteur CCD ½ pouce à mémoire de trame composé de 320.000 pixels effectifs pour 300.000 utilisés. Plus performant que celui qui équipe le GR-C7, ce capteur offre une résolution horizontale de plus de 300 lignes. Ce qui se traduit par une plus grande netteté et une plus grande qualité de restitution des couleurs. Ce nouveau capteur analyse l’image au 1/50e contre 1/25e pour les capteurs de première génération, d’où l’absence de distorsions d’image en travellings rapides. De nouveaux circuits électroniques lui sont associés qui affinent les contours et les petits détails de l’image.
L’obturateur électronique à grande vitesse fait ici son apparition. Il offre la possibilité d’enregistrer au 1/1.000e de seconde des scènes d’action très rapides qui pourront être analysées avec une parfaite netteté au ralenti ou en arrêt sur image. Ceci pour la plus grande joie des amateurs de prises de vues sportives ou animalières. Comme en photographie, l’obturateur joue sur la profondeur de champ en isolant un sujet central très net sur un arrière-plan laissé volontairement flou. La caméra en position OBTURATEUR RAPIDE reçoit en effet une quantité de lumière 20 fois moins grande, pour une plus grande ouverture du diaphragme et une diminution de la profondeur de champ. Cette même fonction intervient lorsqu’il s’agit de diminuer les contrastes de l’image, en situation de contre-jour par exemple.
Dans sa version PAL (européenne), le GRc45 offre plusieurs vitesses d’obturation rapide mais le constructeur a dû tenir compte du codage des signaux en SECAM et limiter cette fonction au 1/1.000e de seconde sur la version française du produit.
Le GR-45 a reçu un nouveau zoom 6× très compact. D’une longueur de 6 cm seulement, il est d’un emploi très pratique. Il dispose d’une double commande électrique (à deux vitesses ou manuelle) à course réduite pour éliminer les risques de bougé. Ce zoom d’ouverture (f : 1,4) permet de choisir une focale comprise entre les positions grand-angle 9 mm ou télé 54 mm. Une première touche permet d’effectuer un zoom-avant (T) tandis que la seconde commande le zoom-arrière (W). La pression plus ou moins forte détermine la vitesse lente ou rapide du changement de focale.
Le camescope bénéficie d’une touche « tout automatique » optimisant les réglages sans intervention de l’opérateur, celui-ci n’ayant plus qu’à cadrer et à filmer. L’automatisme est toutefois débrayable pour permettre une intervention manuelle au niveau de l’un des principaux paramètres : mise au point, balance des blancs, vitesse d’obturation…
Le système autofocus fonctionne à l’aide d’un mini-objectif couplé mécaniquement à l’objectif principal. La lumière reçue est focalisée par des microlentilles et analysée par une barrette d’éléments CCD. La détection des contrastes commande la rotation de l’objectif. Ainsi tous les changements de distance entre le sujet et la caméra sont calculés en permanence et la mise au point réglée en continu par micro-ordinateur. Autre particularité : la zone de détection de mise au point, représentée par un rectangle central incliné à 45°, varie, selon la focale, de la moitié de la largeur de l’image en position télé à 1/10 de celle-ci au grand-angle.
Ce système autofocus fonctionne efficacement à travers une vitre ou une surface liquide mais il devient inopérant en l’absence de contraste, en lumière très faible ou en cas d’adjonction de complément optique. En mode manuel, le vidéaste bénéficie d’une assistance à la mise au point grâce au système électronique. Une flèche s’affiche dans le viseur pour indiquer dans quel sens doit être tournée la bague de l’objectif ; lorsque la mise au point est réalisée, un petit carré apparaît. Dans certains cas extrêmes, des clignotants signalent l’impossibilité de bénéficier de l’assistance électronique et la nécessité de procéder à un réglage par estimation. La mise au point est possible jusqu’à 1,1 m mais en position MACRO il est possible de s’approcher du sujet pratiquement jusqu’à la lentille frontale de l’objectif.
Le GR-45 est doté d’un système de diaphragme automatique non débrayable mais il est équipé d’une touche CONTRE-JOUR qui permet de gagner deux diaphragmes et d’une touche FONDU au noir audio et vidéo, à l’ouverture et à la fermeture. Assez curieusement, ces deux touches sont situées sous le support de l’objectif.
Le réglage de la balance des blancs a pour but de restituer, avec la plus grande fidélité possible, les couleurs naturelles en compensant les dominantes liées à la température de couleur des différentes sources lumineuses. L’automatisme de la balance des blancs est assuré par un capteur situé sur la face avant du camescope, près de l’objectif. Le système est plus élaboré que celui du GR-C7. A partir des mesures des valeurs du bleu et du rouge, la comparaison s’effectue par rapport au vert qui reste la couleur de référence. La balance des blancs est réglée en continu selon les modifications de la lumière. Le système est débrayable au profit d’un préréglage selon trois variateurs : 3.200°K (lumière à incandescence), 4.500° (éclairage fluorescent) et 5.500°K (lumière du jour). Pour obtenir une bonne restitution des couleurs naturelles, il est préférable de ne pas mélanger différentes sources de lumière, par exemple la lumière du jour et l’éclairage artificiel, qui rendent difficile le réglage précis de la température de couleur. Le viseur électronique de 0,6 pouce, situé au-dessus de la caméra, coulisse sur une glissière avec blocage sur deux positions crantées. Il permet de filmer indifféremment avec l’œil gauche ou l’œil droit. Il est orientable à 90° et son oculaire, réglable en dioptries, peut basculer pour permettre un contrôle à distance, en extension au-dessus d’une foule par exemple. Le viseur est doté d’un ensemble complet d’indicateurs de modes et d’avertissements qui s’affichent en incrustation à l’image. En position « tout automatique » n’apparaît que l’indicateur d’enregistrement et l’affichage du compteur. En mode de réglage manuel, toutes les options choisies sont affichées, y compris la sélection de la fonction OBTURATEUR RAPIDE (1/1.000e), la vitesse lente d’enregistrement (LD) ou encore la fonction FONDU, qui clignote 5 secondes, durée de réalisation de l’effet. S’inscrit également dans le viseur, si cette fonction a été sélectionnée, l’affichage de la date et de l’heure.
Le camescope GR-45 dispose d’une nouvelle fonction de commande de montage qui permet de piloter le magnétoscope qui lui est raccordé à partir de la télécommande de pause. Le GR-45 est alors utilisé en tant que magnétoscope de lecture. Après raccordement du connecteur de sortie A/V du JVC GR-45 à la prise audio/vidéo et à la borne de télécommande du magnétoscope utilisé pour le montage, il suffit de mettre celui-ci en position PAUSE/ENREGISTREMENT. La pression sur la touche MONTAGE du camescope a pour effet de ré-embobiner la cassette durant 4 secondes. Après pré-enroulement, la bande est lue, puis sa vitesse de défilement stabilisée. Au point d’entrée du montage, le GR-45 envoie un signal de déport au magnétoscope qui passe en mode d’enregistrement pendant que le camescope continue la lecture de la cassette. L’indicateur de commande de montage apparaît alors sur l’afficheur LCD. Si le point de sortie a été sélectionné grâce à la touche MEMOIRE, le GR-45 s’arrête automatiquement à la fin de séquence choisie. Ce système de commande réalise des montages de cassettes sans raccord visible, sans distorsion ni effet de couleur. Un « plus » incontestable.
Les témoins d’avertissement apparaissent en langage clair sous forme de clignotants : LM pour les conditions de lumière insuffisantes ; ENR pour fin de bande; BATTERIE sur la totalité de la largeur de l’image pour annoncer la fin de charge… Le JVC GR-45 bénéficie d’un double système de contrôle grâce à une large fenêtre d’affichage à cristaux liquides située sur le côté gauche de la caméra et dans laquelle sont rassemblés tous les paramètres de réglage de la caméra : focus auto ou manuel, balance des blancs, vitesse d’obturation, de défilement de bande VN (vitesse normale) ou LD (longue durée), le compteur de bande à quatre chiffres, la mise en service de la mémoire.
Dans cette même fenêtre s’affiche, sur la partie droite et sous forme de symboles, l’état des fonctions du magnétoscope. Ce mode d’affichage se révèle très pratique au montage.
Le viseur permet de contrôler la qualité des images enregistrées aussi bien en temps réel qu’en lecture. Pour un contrôle ponctuel des dernières images enregistrées, il suffit de presser la touche CONTROLE. Le magnétoscope intégré revient légèrement en arrière et relit les dernières secondes enregistrées.
En utilisant de nouveaux matériaux composites, JVC a réussi à accroître encore la légèreté du magnétoscope incorporé. Le GR-45 de JVC reçoit la cassette VHS-C de 30 min mais l’autonomie d’enregistrement peut être doublée en utilisant la vitesse lente de défilement à 11,70 mis au lieu de 23,39 mis. Le GR-45 est équipé d’un nouveau tambour de 8 têtes vidéo de haute qualité, dont 4 têtes réservées à l’enregistrement à vitesse normale et de 4 autres, plus petites, affectées à la vitesse lente.
LES PERFORMANCES DE L’ENREGISTREMENT NUMERIQUE
La qualité d’enregistrement en LONG PLAY est un peu moins performante, en raison précisément de la taille des têtes vidéo. Une autonomie d’enregistrement d’une heure est plus que largement suffisante pour la plupart des usages courants.
Sur le plan mécanique, on remarque que le moteur du cabestan est à entraînement direct. Il ne subsiste plus qu’une seule courroie, ce qui ajoute encore à la fiabilité du magnétoscope. Le JVC GR-45 dispose de la fonction ASSEMBLAGE AUTOMATIQUE qui permet d’assurer la succession de deux plans sans raccord visible. Première opération : mettre le camescope en position PAUSE/ENREGISTREMENT, la bande effectue alors un retour arrière de 25 images. Deuxième opération : presser la touche ENREGISTREMENT ; le magnétoscope se met en position LECTURE pendant une seconde, le temps nécessaire pour que la bande se repositionne dans les signaux de synchronisation et atteigne sa vitesse normale de défilement. Arrivé à la 25e image, le magnétoscope repart en enregistrement.
Alors qu’il était nécessaire de prévoir un recouvrement de 3 images en moyenne avec le GR-C7 pour établir le raccord de synchronisation entre deux plans successifs, le GR-45 supprime le temps de recouvrement. Cette performance est à mettre au crédit du mode d’enregistrement numérique, plus rapide que le système analogique utilisé jusqu’ici.
Des innovations apparaissent sur ce nouveau camescope JVC. En particulier un avertisseur sonore de déclenchement, et une commande additionnelle d’enregistrement, située sous le viseur. C’est pratique lorsque le camescope est fixé sur pied.
Le GR-45 réalise des copies de cassettes sur magnétoscope standard. Il suffit de raccorder le connecteur de sortie A/V du camescope à la prise audio/vidéo du magnétoscope, à l’aide du câble de sortie (fourni) et d’actionner le commutateur COPIE du GR-45. Pour contrôler la qualité de l’image, raccorder un téléviseur au magnétoscope. L’une des caractéristiques très intéressantes du GR-45 est son système de commande de montage. Il pilote, et ce automatiquement, n’importe quel magnétoscope équipé d’une télécommande. Idéal pour réaliser un montage de séquences sans raccord visible. Une simple pression sur la touche MONTAGE du camescope a pour effet de pré-enrouler la bande, de commander la lecture et d’envoyer au deuxième magnétoscope le signal de départ de l’enregistrement.
Le JVC GR-45 dispose également d’une touche MONITEUR qui permet de répéter une prise de vues avant enregistrement et ceci même sans cassette. Qui peut le plus, peut le moins : camescope complet, le GR-45 peut aussi être utilisé en caméra vidéo indépendante une fois raccordé à un magnétoscope portable ou de salon. Le signal vidéo est transmis par le câble de sortie AV. Le camescope JVC GR-45 peut recevoir trois sources d’alimentation. Les batteries autonomes se logent dans la poignée, contribuant par leur forme ergonomique au confort de prise en main. Ces batteries au cadmium-nickel sont disponibles en autonomie de 25, 60 ou 90 minutes. Chaque modèle possède un repère manuel d’identification de charge. Le camescope se branche aussi sur secteur avec l’adaptateur secteur/chargeur de batterie fourni avec l’appareil, ou sur batterie automobile à l’aide de l’adaptateur spécifique. JVC propose un chargeur de batterie à brancher sur l’allume-cigare de la voiture.
L’interrupteur général d’alimentation se trouve sur la partie arrière de la caméra, à côté de la touche ATTENTE/ENREGISTREMENT. Celle-ci met le viseur électronique en fonction. Avant d’enregistrer, appuyer sur le bouton rouge de déclenchement. Le camescope mémorise les derniers réglages effectués. Inutile donc de reprogrammer à chaque fois les modes de fonctionnement sélectionnés. De toutes manières, la touche REGLAGE AUTOMATIQUE permet de retrouver à chaque instant les automatismes de base.
Grâce à son magnétoscope intégré, le GR-45 relit les cassettes enregistrées, soit sur le viseur électronique, soit sur un moniteur ou un téléviseur. La connexion au téléviseur s’effectue grâce au câble audio/vidéo (par la prise péritel) ou par l’intermédiaire du convertisseur fourni avec le camescope que l’on branche sur la prise d’antenne du récepteur. Un sélecteur vidéo/TV règle la source d’image. Il est toujours préférable de choisir le premier mode de connexion afin d’éviter que les signaux vidéo passent par les circuits des tuners des deux appareils.
Le GR-45 offre alors les fonctions d’un magnétoscope classique : lecture, recherche rapide avant ou arrière, arrêt sur image, défilement à vitesse variable. Toutes les commandes de fonction sont judicieusement regroupées sur la face arrière du camescope. Il existe une autre possibilité de lecture des cassettes enregistrées : il suffit de placer celles-ci dans un magnétoscope de salon grâce à l’adaptateur mécanique VHS fourni avec l’appareil. Si le magnétoscope utilisé ne dispose que d’une seule vitesse de défilement, seules les séquences enregistrées en vitesse normale pourront être lues dans de bonnes conditions.
Il est bon de ne pas oublier que le raccordement au téléviseur, s’ il permet la lecture, offre aussi la possibilité d’être utilisé comme moniteur de contrôle à l’enregistrement.
Le JVC GR-45 est livré avec une batterie rechargeable de 60 min, une cassette EC-30, un adaptateur secteur/chargeur de batterie, un adaptateur de cassette VHS, un câble de copie prise Scart 21 broches, une bandoulière et un coffret de transport anti-choc. D’une très belle esthétique, cette mallette comporte un double coffret pour le rangement séparé de deux batteries et de deux cassettes. Dans sa version complète, ce nouveau camescope devrait être commercialisé à moins de 16.000 F (2.439 €).
JVC propose une gamme d’accessoires en option. En particulier un générateur de caractères pour la composition de titres et le déroulement de textes ; un boîtier de télécommande d’enregistrement ; un microphone super-directionnel ; une poignée de transport et un sac souple.
A l’issue de notre test, ce nouveau camescope JVC se révèle à la fois très complet et simple à utiliser. Il offre une très bonne définition d’image, une finesse de détail et une grande fidélité de restitution des couleurs quelles que soient les sources d’éclairage. Ces excellentes performances résultent de l’action conjuguée du nouveau capteur, de nouveaux circuits électroniques et en particulier du circuit HQ (haute qualité), sans oublier la précision des automatismes de réglage. La double vitesse d’enregistrement et de lecture est une caractéristique très intéressante, compte tenu de la qualité de restitution en mode « longue durée ». Le GR-45 se montre également très performant sur le plan audio : la qualité du micro incorporé est tout à fait satisfaisante.
cv 008