Successeur du JVC GR-DVP3, ce caméscope numérique à architecture verticale JVC est encore mieux équipé, sans pour autant sacrifier des performances reconnues. Le JVC GR-DVP7 a quelques atouts dans son boîtier : capteur de 1,02 Mégapixel, processeur large bande, zoom optique ×10, numérique ×200 avec lissage par interpolation. Côté photo, le format peut atteindre 1280 × 960. L’appareil joue aussi les baladeurs MP3, gère des bruitages préenregistrés, se transforme en webcam et capture des clips vidéo MPEG-4. Rien à envier à la concurrence !
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Un volet de protection coulissant protège l’objectif. Quand il est fermé, le camescope ressemble à un baladeur audio. Cette miniaturisation se paie par un écran LCD plus petit que la moyenne : environ 5,8 cm de diagonale contre 6,35 cm chez les autres. Mais sa bonne résolution (200 kp) compense sa petite taille. La commande de zoom s’effectue via une bague qui entoure le bouton Marche-arrêt, système qui manque de souplesse. On accède aux réglages principaux (mise au point, exposition, contre-jour) par touches à pression. Pour les autres, le passage par un menu s’impose. Hélas, pour y parvenir, il faut ouvrir l’écran LCD.
Sur le terrain, l’autonomie de la batterie fournie est limitée à 30/40 minutes. Des accus optionnels offrent des durées supérieures, mais ils alourdissent l’appareil.
Pas de vrai grand-angle (45 mm), ni de filetage pour coiffer l’objectif d’un complément optique. Dommage ! Le JVC GR-DVP7 reproduit plus de 530 points-ligne, avec des arrière-plans détaillés et une colorimétrie équilibrée, sans dominante. Comme beaucoup de camescopes DV actuels, sa sensibilité est médiocre. Les modes Gain Up et Nightscope (nuit) peuvent l’améliorer, mais l’utilisation des vitesses lentes détériore la fluidité des mouvements. Côté audio, la qualité du microphone intégré est satisfaisante, mais la stéréo un peu étroite. Il capte les bruits mécaniques de l’appareil. Démuni de prise microphone, il n’accepte en guise de micro externe que celui de la marque : le micro-zoom JVC MZ-V3. Celui-ci se monte sur la griffe porte-accessoires où il bénéficie d’une alimentation et d’une connexion à l’appareil. Elle supporte aussi une torche vidéo ou un flash.
Livré avec une SD Card de 8 Mo, l’appareil peut stocker des photos. Il offre deux niveaux de compression JPEG (Fine ou Standard) et trois formats : 640 × 480, 1024 × 768 et 1.280 × 960, ce qui autorise de 12 à 150 vues selon la qualité choisie. Il est doté d’un mode Rafale. Une fonction Webcam complète sa capacité à produire des clips en MPEG-4 pour les joindre à ses mails, via le port USB. Les logiciels fournis (capture et retouche) pilotent le transfert du contenu de la carte mémoire vers un PC ou un Mac.
Pour habiller les films, le JVC GR-DVP7 dispose de 6 volets, 3 fondus et 5 effets à l’enregistrement. La prise Edit permet le montage traditionnel, «de bande à bande», soit filaire avec un appareil compatible, soit par infrarouge. Il exploite un système de mémorisation de 8 séquences, avec la programmation en lecture de 4 effets spéciaux et 7 transitions, plus un zoom numérique x20. Douze effets sonores MP3 (bruitages), préenregistrés sur la carte ou téléchargeables sur le site JVC, peuvent illustrer les images. Prise DV In/Out et sortie AV (vidéo composite et audio) sont intégrées au boîtier et permettent la numérisation mini DV sur un PC. Les autres prises se situent sur une base amovible : casque, Y/C, USB et Edit. Le JVC GR-DVP5 est identique, mais sans prise DV In.
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