Les caméscopes numériques Sony équipés d’un capteur tri-ccd permettent une prise de vues avec des couleurs plus subtiles. L’image est séparée par un filtre spécial qui distribue les couleurs rouge, vert et bleu sur trois capteurs différents. L’image complète est reconstituée de manière électronique, encodée au format DV et enregistrée sous forme numérique sur une cassette à bande magnétique.
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Ces caméras haut de gamme fournissent des images d’excellentes qualités. Vous pouvez continuer d’en profiter en nous confiant vos mini DV pour une numérisation sur disque dur ou clé USB. Vous n’aurez plus à craindre la dégradation de vos cassettes avec vos précieux souvenirs qui pourraient disparaitre.
Le Sony DSR-250 est un caméscope professionnel à optique fixe au format DVCAM. L’avant de la caméra et le bloc optique sont semblables au DSR-PD150. Cependant le corps de la caméra est différent. Le rembourrage DynaFit de cette épaulière très légère permet un portage très confortable.
Globalement les résultats sont proches du DSR PD150P. Caméscope de de poing ou un caméscope d’épaule, c’est à vous de choisir !
Le Sony DSR-200P est la version DVCam du VX9000 (voir ci-dessous). Ce caméscope pro propose une meilleure ergonomie et une plus grande compatibilité avec les matériels de postproduction professionnelle. Pour 5.000 FF de plus l’image est identique et les points faibles du modèle grand public sont toujours présents.
Le caméscope numérique tri-ccd Sony TRV900 ressemble à un petit bijou. Ce caméscope qui se positionne au coté de son grand frère le VX1000 paraît moins pro que celui-ci. Il est équipé d’un stabilisateur optique et possède des entrées vidéo analogiques qui permettent ainsi la copie de vidéo analogique en dv.
Si l’ergonomie est plus orienté grand public, faute de place sans doute, les résultats sont cependant supérieurs au VX1000, meilleure définition et meilleure sensibilité.
Le Sony VX1000 fut une révolution en son temps. Premier caméscope numérique DV équipé d’un capteur tri-ccd, il fera la joie des amateurs fortunés et des professionnels. Il est le successeur du Sony VX1 qui fut en son temps son équivalent en version Hi8. Ces deux légendes de la vidéo amateur son confrontées dans ce dossier.
Toujours dans la course. Le Sony VX9000 d’aujourd’hui bat des records de longévité. Elle s’adresse aux semi-pros en quête d’ergonomie familière et de crédibilité face à leurs commanditaires.
De fait, elle en impose ! Points forts : des réglages très accessibles et la possibilité de « personnaliser » la qualité d’image en jouant sur la saturation des couleurs ou la netteté. Ajoutez les entrées audio : le niveau des canaux droit et gauche se paramètre séparément (moins sophistiqué toutefois que sur le Canon XL 1). Enfin, on dispose d’assez de recul pour apprécier la fiabilité de l’appareil. Son image figure encore parmi les meilleurs caméscopes numérique DV, mais, évolution technologique oblige, elle est supplantée par celle du cadet, le moins coûteux Sony TRV900… Dépourvu de bague de zoom, d’objectifs interchangeables et d’entrée DV, ce modèle est très pénalisé par le Canon XL 1. Enfin, contrairement aux autres DV, il n’accepte pas les petites, mais les grandes cassettes. Leur longue durée (120 et 180 mn) est avantageuse pour filmer en continu un spectacle ou une cérémonie par exemple.
Même verdict qu’au printemps dernier. Un modèle cher face aux Canon XM1, TRV900 et au Canon XL1, même s’il s’agit d’une véritable épaulière et du seul DV à travailler avec des grandes cassettes. L’absence d’objectifs interchangeables le dessert en contexte pro.
CV 133s