Après avoir inauguré l’architecture verticale, les caméscopes numériques JVC reviennent à une architecture de paume traditionnelle qui permet d’améliorer l’ergonomie de ses appareils, de proposer des écrans plus grands et des fonctions supplémentaires qui s’avèrent souvent décisives dans le choix des utilisateurs.
Ces deux caméscopes numériques de paume sont le résultat d’un compromis prix/performance. Pour réaliser des économies JVC propose ici deux caméscopes doté de la même robe que sa gamme de caméscope analogique. Pour les performances nous sommes en présence de caméscopes proposant les caractéristiques d’un bon caméscope mini dv, à l’exception de la batterie et de l’absence de sortie FireWire (dv). Contrairement au JVC GR-DVF10, le DVF1 ne possède pas d’écran.
Avec le JVC GR-DZ7, le constructeur de caméscopes numériques de paume accède à la cour des modèles hybrides bimégapixel. Grâce à un nouveau capteur qui traite séparément la photo et la vidéo et au nouveau processeur qui équipe désormais toute la gamme, JVC démontre ici sa volonté de bien faire dans tous les domaines.
JVC abandonne le designe vertical pour revenir à un concept plus classique. Le JVC DVL9000 est un caméscope numérique de paume mono-ccd équipé d’un viseur et d’un grand écran couleur et d’une prise dv permettant la copie de dv à dv, ou la copie sur un ordinateur équipé d’une carte d’acquisition dv.
Ce caméscope numérique de paume sait également prendre des photos en 1024 × 768 (XGA). Le JVC DVL9800 regorge de fonctionnalités inédites. Il peut filmer et prendre des photos simultanément, possède des entrées analogique et dv, ainsi que d’autres fonctions qui peuvent s’avérer très utiles. La qualité d’image est excellente et la résolution de 530 points ligne est mise en valeur par l’excellent écran de presque 9 cm de diagonale.
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