Miro fut autrefois un fabricant de cartes de numérisation mjpeg, il fut même le premier à présenter une carte pour le grand public, la Miro DC1. Cette carte de numérisation était plus un gadget qu’autre chose puisqu’elle ne gérait pas le son et que la qualité vidéo n’était pas au rendez-vous. Numériser une cassette de camescope est devenu possible et les fabricants n’auraient en tête que de faire évoluer leurs produits. Miro, comme beaucoup de constructeurs Allemand, pèche par la qualité de son développement logiciel en laissant trainer des bugs. Cette politique le perdra.
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Un type de carte de numérisation remplace l’autre. La Miro DC30 avait l’intention de devenir la numéro un sur le marché en raflant la place du meilleur rapport/qualité prix pour se mettre à la portée de tout le monde. Ses avantages : taux de compression proche de 3,5/1, sortie Secam, superposition vidéo en temps réel et audio intégré, parfaitement synchronisé avec la vidéo.
Carte de numérisation professionnelle bon marché pour le montage virtuel sur PC ? Certaines personnes salivaient, d’autres étaient sceptiques. Le taux de compression maximal est de 5:1 et les images s’affichent en double trame plein écran. Le premier test de la Miro DC20 a confirmé la qualité globale du produit. Ceux qui considéraient alors le montage numérique comme un gadget extravagant pour professionnel ou amateur fortuné devront revoir leur jugement.
Comparé au Casablanca, le montage virtuel sur PC semble cher ou pas si facile ? Pinnacle espère vous montrer le contraire avec la nouvelle Miro Studio DC10 Plus. Ce produit d’entrée de gamme surprenant est gonflé des vitamines de la DC30 Plus.
La carte de numérisation de cassette vidéo DC10 standard a disparu du catalogue. Alors que la pression des Matrox Marvel G200 et Iomega Buz augmentait, Pinnacle a lancé la contre-attaque avec sa Studio DC10 Plus. Les avantages de cette carte : le taux de compression minimum est de 3:1, la réelle simplicité d’utilisation apportée par le logiciel interne Studio, et le prix de 1.790 F, offrent un large éventail de possibilités aux utilisateurs potentiels. La vidéo de qualité professionnelle au service du domestique. Présentation Internet, vidéo d’entreprise et autres fonctionnalités d’un carte professionnelle à bas prix. A l’exception des effets spéciaux exclus du pack d’origine, aucune autre fonction ne peut lui échapper.
Livré dans une boîte film cinéma, le Pinnacle Productivity Pack propose une carte de pilotage accompagné d’un logiciel et composé d’un câble destinés aux cartes miroVIDEO DC30 et 30+. A la DC30 standard, il apporte le Plug In Instant Video qui permet d’origine à la DC30+ de ne pas compiler obligatoirement ses films dans Adobe Premiere (montage plus rapide, Preview et lecture fluide, économie de place sur les disques…). Une interface a été développée qui intègre la capture audio-vidéo avec gestion des rushes en catalogue. Quant au Smartcable, il pilote les périphériques Sony (Lanc) et Panasonic (mini-Din).
Indispensable aux DC30 standard accéder au PlugIn InstantVideo. On aime son système de pilotage/capture tout en un, à l’interface conviviale.
Même si les technologies du tout numérique gagnent du terrain chez les professionnels, l’analogique n’est pas enterré avec un parc important en Beta SP. Et c’est en quelque sorte un chaînon manquant que Pinnacle propose en annonçant une nouvelle carte de numérisation vidéo pour cet automne la miroVIDEO DC50. On retrouve toutes les qualités de la DC30 complétées d’entrées/sorties en YUV pour recevoir et délivrer des signaux de haute qualité destinés aux magnétoscopes pros. Comme pour la ReelTime, un boîtier de connectique externe sera partie intégrante du système avec des prises BNC pour les signaux composantes et des prises XLR pour l’audio.
Des entrée/sortie YUV, des prises XLR (audio 48 kHz) sur boitier externe séduiront les possesseurs de Beta SP à la recherche d’une carte abordable.
Cette carte de numérisation équipée du double canal MJPEG apporte d’emblée plus de 130 effets spéciaux joués en temps réel avec Adobe Premiere. Pour les effets en 30 temps réel, une carte GénieFusion RT optionnelle communique avec la Pinnacle ReelTime par le Media Bus 2 (environ 50.000 F). Pour la communication numérique à grand débit (Interface Digital Serie ou SDI) et pour le DV, des cartes filles sont prévues afin d’élargir le potentiel du produit.
Cette carte va bousculer les hiérarchies des solutions pros. Suite au mariage Pinnacle/miro, à quand les effets temps réel pour l’amateur ?
Cette nouvelle carte de numérisation compresse jusqu’à 3:1 en Pal plein écran. La vraie révolution pour un produit dans cette gamme de prix : le logiciel de montage Adobe Premiere 4.2 en version complète (5 000 F en achat séparé) et, surtout, le Plug In qui l’accompagne. Il s’agit d’un programme baptisé mirolNSTANTVideo grâce auquel on obtient des Previews fluides qui libèrent de la nécessité de compiler les films pour les lire et permet des retouches films plus faciles. De plus, la Pinnacle miroVIDEO DC30 plus économise l’occupation des disques durs (jusqu’à 40 %). Vraie lacune : l’absence de VU-mètre pour travailler les sons.
Un excellent rapport qualité/prix pour le vidéaste exigeant en qualité de compression, et surtout soucieux de monter plus rapidement ses films…
Traitant le Pal, le Secam et le NTSC en entrée, comme en sortie, la miroVIDEO DC10 est une carte de numérisation vidéo idéale pour le débutant en montage virtuel confronté à d’anciens magnétoscopes qui ne sont pas multistandard. Dommage que miro ait économisé sur quelques pixels en hauteur au lieu d’offrir une gestion intégrale de la double trame. Le logiciel de montage Media Studio 2,5 pourrait prochainement être remplacé par MGI Video Wave plus convivial pour le grand-public.
Une entrée de de gamme pour se lancer dans le virtuel tous PC Pentium confondus. A quand la technologie Instant Vidéo de la DC30 pour des Previews fluides ?
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