Dès la fin des années 70 le Japon s’est imposé comme le pays de la vidéo avec son format VHS. Sony s’étant fait souffler le marché du magnétoscope de salon par JVC, s’est imposé avec son format video 8 mm, puis son évolution le Hi8. Voici donc une présentation des camescopes vidéo 8mm et Hi8 japonais qui ont fait le bonheur des pères de famille pour immortaliser les premiers pas de bébé.
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Ce fabricant de caméscope Japonais est spécialisée dans les composants électroniques. On trouve les produits Sanyo dans de nombreux domaine. Cette entreprise est situé à Osaka fusionnera avec Panasonic en novembre 2008. Pour faire face aux poids lourd du secteur les caméscopes Video 8 Sanyo présentent souvent des spécifications particulières.
Nombreux sont les anciens possesseurs de camescope Sony qui possèdent encore leurs précieuses cassettes. Ce constructeur est l’inventeur du format Video8 et a largement contribué à populariser la vidéo amateur. Les cassettes Hi8 Sony portant la mention « ME », vieillissent très mal. Nous vous conseillons de les confier à notre service de numérisation Hi8 sans perdre de temps. D’autres constructeur tel que Canon, Hitachi ou Samsung avaient également adopté ce format pour leur camescope.
Marque prestigieuse dans le domaine des caméras super 8 et des appareils photos réflex, Canon a continué sur sa lancée en misant sur son image de marque pour produire des camescopes video 8 et Hi8 d’excellente qualité, en présentant souvent une nouvelle référence au moment de leur apparition sur le marché. Cette sélection de camescopes Canon ne représente qu’une partie des matériels commercialisés de la fin des années 80 aux années 90.
Dans les débuts du format vidéo 8 mm divers fabricants japonais de caméscope se sont lancés dans l’aventure. On ne compte pas moins de 7 marques connues dans cette rubrique. Des spécialistes photo comme Pentax et Minolta, ou des spécialistes de l’électronique comme Sharp, qui connaitra un certains succès, ou Aïwa.
Ce camescope video 8, d’abord commercialisé par Sanyo et Pentax, et conçu avant tout pour le tournage tout-automatique, se distingue par son prix : le plus bas du marché.
Les performances du Fisher FVC-P701 restent excellentes : zoom 6 fois, capteur , ½ pouce 330.000 pixels, sensibilité de 7 lux, lui donnent une gamme étendue de possibilités, y compris pour les prises de vues intérieures. Le viseur électronique, inclinable sur 90° et détachable, affiche les principales informations (décompte de bande et dateur). Le diaphragme ne fonctionne qu’en automatique mais une touche de contre-jour et une vitesse d’obturation rapide (1/500 s) viendront remédier aux éclairages difficiles. Le système autofocus, débrayable, est digital. La balance des blancs est tout à fait originale : deux mesures sont effectuées conjointement, l’une par la fenêtre externe, l’autre par le CCD, de façon à corriger les dominantes colorées dues aux écarts de lumière entre l’emplacement de la caméra et la scène. Une grande simplicité d’ensemble qui n’exclue pas la qualité de l’image.
A l’instar de beaucoup d’autres camescopes de la nouvelle génération utilisant le capteur ½ pouce, le Fisher FVC-P750 présente un zoom 8 fois à 8,5-68 mm 1/1,6 et vitesse variable.
C’est un caméscope video 8 d’un joli design et que l’on tient bien en main. Conçu pour une utilisation familiale, il est d’une merveilleuse efficacité en mode tout-automatique. Il prévoit quand même une compensation de contre-jour, et deux vitesses rapides d’obturation. La balance des blancs demeure débrayable (lumière du jour/tungstène). Il imprime la date et l’heure et mémorise une page de titre (en 5 couleurs avec inversion pour créer un effet de découpe). Son système de mise au point automatique TCL numérique se montre très performant. Lorsqu’on effectue un mouvement, un panoramique par exemple, on peut verrouiller provisoirement la distance en appuyant sur la touche FOCUS REV : ce qui évite le pompage. Il existe un modèle plus simple, sans le 4.000e sec, sous les marques Fisher FVCP 720, Sanyo VM D6P ou Siemens FA 124.
Ce camescope Video 8 est doué pour le fonctionnement en mode tout-auto. Il est équipé d’un zoom 8 fois motorisé à vitesse variable et du mode « télémacro » (touche Close up).
L’autofocus numérique TCL est néanmoins débrayable au profit de la mise au point manuelle ou pour le mode macro en position grand-angle. Ses points forts sont en effet un arrêt sur image propre, sans barre de bruit et un ralenti de haute qualité au 1/5 de vitesse à régler cependant à l’aide d’une molette Slow Tracking. Le mode insertion est précis et facile à mettre en oeuvre, d’autant que la recherche rapide de séquence permet à tout moment l’enregistrement à un point donné, repéré par le compteur « temps réel ». Le Fisher FVC-P950 est pourvu d’une mémoire numérique de trois titres en six couleurs. Point très intéressant : il est possible de mélanger deux titres avant incrustation dans les images. En revanche, fondu au noir audio-vidéo, mais balance des blancs et diaphragme ne sont pas débrayables
Le camescope video 8 mm à petit tambour fabriqué par Sanyo n’est plus le plus compact du monde, mais, pour l’emploi familial, on peut le préférer à la version Sony TR-55. Il dispose en effet d’un zoom (également 6 fois), mais donnant un angle de champ beaucoup plus ouvert en position « wide » (correspondant à un 45 mm photo, ou lieu de 53 mm pour son concurrent).
Il faut dire toutefois que s’il est notablement supérieur quant à la qualité des images et à ses performances optiques, il n’offre pas les mêmes possibilités créatives que le micro-camescope de Sony. La seule fonction débrayable est en effet la mise au point automatique. Séduisant à la fois par sa compacité, sa facilité d’emploi et l’excellente qualité des images due à son capteur 470.000 pixels, le Fisher FVCP-1000 est un camescope ultrasimple, essentiellement conçu pour la vidéographie familiale. Il ne permet pas l’insertion et ne dispose que de la vitesse de défilement normale. A son crédit, touche de fondu ou blanc avec évanouissement proportionnel du son, une vitesse d’obturation rapide et dateur.