Introduits en 1985 sur le marché de la vidéo, les caméscopes video 8 Sony ont donné naissance à un nouveau style de prise de vue, libérant le consommateur des délais de développement inhérents au film argentique.
Dans la série des camescopes video 8, le Sony CCD-V50 suit la lignée de ses aînés. Le 15 septembre 1987, Sony sortait de leur écrin deux camescopes, les Sony V50 et le Sony V90, qui font partie intégrante de la famille des Handycam dont ils présentent le schéma de base.
Une tête d’effacement flottante permet la synchronisation de deux séquences enregistrées en éliminant les drop out. Son à modulation de fréquence, viseur électronique inclinable noir et blanc.
Compact et léger il assure techniquement des images de très bonne facture. Camescope bloc-notes pour utilisateurs néophytes, le Sony CCD-V30 a fait des adeptes. Sa simplicité d’utilisation est un atout majeur.
Ce caméscope Sony est l’outil de base du vidéaste amateur voulant s’adonner aux joies de la prise de vue vidéo. De dimension très réduite, il est l’un des plus petits camescopes du marché. Son poids de 1,4 kg sans cassette ni batterie en fait un des plus légers,
Des performances au-dessus de la moyenne, une conception ergonomique, un obturateur à vitesse variable, une étonnante définition de l’image, des automatismes débrayables, le Sony CCD-V90 se range dans le peloton de tête des meilleurs camescopes vidéo 8 Sony.
En lançant le nouveau modèle de « Handycam », les techniciens de Sony n’ont pas hésité à peser, dans la balance, de tout le poids de leur savoir et de l’expérience acquise. Ils l’ont doté d’un nouveau capteur d’images du type « transfert de charges » (Charge Coupled Device, ou CCD), sensiblement amélioré par rapport aux précédents modèles déjà très performants.