Sans conteste l’un des meilleurs fabricants de caméscope 8mm japonais. Marque prestigieuse dans le domaine des caméras super 8 et des appareils photos réflex, Canon a continué sur sa lancée pour produire des camescopes video 8 et Hi8 d’excellente qualité, présentant souvent les meilleurs caméscope du moment au coude à coude avec son concurrent Sony. Cette sélection de camescopes Canon n’est qu’un échantillon des materiels produits de la fin des années 80 aux années 90.
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Le premier caméscope Canon Hi8 est l’A1 Hi. Ce caméscope adopte la nouvelle norme sonore stéréo FM et de nombreuses fonctions manuelles pour une prise de son de haute qualité. Cette caméra vidéo haut de gamme dispose également d’un mode entièrement automatique, de sorte que même les débutants peuvent profiter pleinement de ses fonctions. Les caméscopes Canon Hi8 sont les modèles avec la résolution la plus élevée.
Canon est un expert de l’image depuis toujours, et il deviendra un compétiteur qui compte sur le marché de la vidéo milieu et haut de gamme. De nombreux modèles de caméscopes Video8 de Canon seront utilisés par les professionnels qui ont besoin de matériel performant, léger et bénéficiant d’une excellente ergonomie.
Un camescope Canon premier prix, performant et simple.
Dans ce caméscope Canon video 8 compact peu onéreux, totalement automatique et d’une esthétique très agréable, Canon a réussi à combiner maintes améliorations techniques et ergonomiques qui avaient été développées pour les modèles antérieurs.
La poignée-viseur orientable sur 180° accroît le confort de prise en main et offre la possibilité de filmer sans fatigue sous tous les angles en conservant une grande stabilité. Télécommande infrarouge des fonctions d’enregistrement et de lecture. Système autofocus IR à deux faisceaux fonctionnant à courte distance : le mode macro est ainsi possible en automatique – à partir de 60 cm – sur les positions télé ou grand-angle et en mise au point manuelle jusqu’à 4 mm du sujet. Mesure automatique de l’exposition sur deux zones séparées. Balance automatique des blancs. Le Canon E-30 est en outre doté d’un horodateur et d’un titreur (deux lignes de 16 caractères), d’une touche de fondu, d’un retardateur/intervallomètre, de la recherche d’enregistrement en mode pause, enfin d’une tête d’effacement flottante.
Un zoom qui fonctionne même en macro.
Maniabilité, stabilité sur l’épaule, viseur mobile : tels sont les atouts reconnus du Canon E-708. Son zoom fonctionne en mode macro, positions grand-angle et télé. En manuel, la balance des blancs s’obtient par mémorisation d’une surface blanche. Fondu au blanc ou au noir. La méthode de mesure de l’exposition est laissée au choix de l’opérateur, soit sur une zone représentant 36 % du cadrage total, soit sur l’ensemble du champ. C’est le point faible de ce caméscope video 8 : le débutant ne sait pas choisir le type de mesure adapté à la scène qu’il veut filmer, tandis que le « semi-pro » préfère le diaphragme manuel. La fonction « sépia » donne des images monochromes d’aspect rétro.
Les données du générateur de caractères et du dateur sont entrées via la télécommande, mais restent en mémoire pour l’incrustation en cours de tournage. Insertion parfaite par l’intermédiaire du compteur. Le boîtier infrarouge permet de commander à distance les fonctions d’enregistrement (dont le zooming) et de lecture.
Très bien conçu, le Canon UC-X10Hi exploite l’ingénieux Flexizone et offre une bonne gestion automatique de la température de couleurs et des contre-jours. Le principe des touches personnalisées (deux boutons auxquels on assigne les fonctions de son choix) évite les erreurs de manipulation.
Enfin, il intègre une mini table de montage et le meilleur stabilisateur possible, puisqu’il n’altère pas la qualité d’image.
Un excellent rapport qualité/prix pour un Hi-8, ergonomique, astucieux et bien adapté au montage.
Le seul caméscope canon video 8 analogique, avec l’UC-V300 de la marque, à posséder un stabilisateur optique. Un « plus » de taille qui permet de conserver le semi grand angle.
Canon signe ici , par ailleurs, ua modèle complet, sur lequel on apprécie la présence d’une table d’assemblage, compatible avec des magnétoscopes de nombreuses marques. Le Canon UC-V20Hi est très sensible, les automatismes corrects : balance des blancs juste et l’autofocus situé dans la bonne moyenne (mais à débrayer en basse lumière). L’image affiche des couleurs très vivantes 400 points-ligne de résolution, mais présente du Jitter sur les verticales.
Un stabilisateur optique, un semi-grand-angle, un Flexizone et une mini table de montage intégrée lui permettent d’affronter efficacement ses concurrents : les Sony TRV46 et TRV66. Reste l’ombre du Digital 8, qui plane sur les haut de gamme analogiques.
Héritier direct de l’UCX30, l’UCX45 reste une excellente affaire. Il a troqué un autofocus pilotable par l’œil contre le système Flexizone, de notre point de vue plus efficace pour le contrôle de l’autofocus et de l’exposition. Il gagne aussi une esthétique plus valorisante et un zoom un peu plus puissant (optique ×22, numérique ×44).
Pour le reste, c’est la copie conforme du grand frère : belle qualité d’image, stabilisateur optique, ergonomie réussie… Peu impressionnant côté sensibilité, il se rattrape par la qualité de son autofocus. Paré pour le montage, il cumule prise Lanc, enregistrement du time code et table d’assemblage intégrée 8 séquences (elle ne fonctionne pas au time code).
Il s’associe à un « adaptateur film », le FP-100 (option, environ 700 F), pour les transferts de diapositives et négatifs. Un bon moyen d’inclure des images fixes dans ses clips.
Son concurrent, le TR3100 lui oppose une pause impeccable, le gain débrayable, l’obturation lente et une autonomie supérieure.
L’un des meilleurs caméscope Hi8 du moment. Il oppose aux premiers prix DV : un compromis ergonomie/débrayages supérieur et un zoom plus puissant. Mais il est en deçà des numériques pour l’image.
Stabilisateur optique (rare à ce prix sur un camescope video8), débrayages (surtout mise au point et exposition), beaucoup plus accessibles que ceux de la concurrence, batterie Li-Ion, image Hi8 très satisfaisante.
Les teintes du Canon UC-X50Hi (parfaites en extérieur) nous ont paru un peu chaudes en intérieur, mais on y remédie facilement en réglant la Balance des Blancs. Sans être exceptionnelle, la sensibilité est correcte. Jumeau avec viseur couleur : l’UCX55.
L’un des meilleurs rapports performances prix de ce guide, pour ce Hi-8 mieux stabilisé que la concurrence et aux réglages plus accessibles
Grâce au Flexizone, le Canon UC-V200 offre un bon compromis entre facilité d’emploi et maîtrise des prises de vues. Mais l’absence de stabilisateur, présent sur un JVC et un Samsung au même prix, le dessert.
Pas de prise Lanc, mais une table d’assemblage incorporée capable de régir des magnétoscopes de nombreuses marques. On troque ici la précision contre une plus vaste compatibilité. Notez que Canon a bien amélioré la sensibilité de ses camescopes video 8. Pour 1.000 F de plus, on trouve l’UC-V300, doté d’un stabilisateur optique, qui ne dégrade pas la qualité d’image.
La compétition entre modèles à écran est acharnée dans ce segment de prix. Si le Canon UC-V200, n’affiche pas un avantage absolument décisif, Il n’en cumule pas moins un ensemble de fonctions intéressantes : Flexizone, prise micro, table de montage, semi-grand-angle…
Le stabilisateur le plus performant dans cette gamme de prix ! Et pour cause, il est efficace et n’entraîne aucune dégradation.
Pour le reste, hormis une meilleure image et un zoom plus puissant (×22 au lieu de ×20), Le Canon UC800 est calqué sur l’UC 5000 (Flexizone, système de montage 8 séquences). On apprécie les deux touches programmables qui peuvent se voir assigner deux fonctions parmi 16. Une excellente réponse aux menus à rallonge.
Voilà un modèle intelligent, non seulement ses fonctions sont astucieuses et utiles, mais surtout, elles restent accessibles. Bref un très bon plan.
Grâce au Flexizone, les « allergiques aux réglages manuels » dirigent les automatismes à leur guise, avec beaucoup d’efficacité.
La télécommande de montage, capable de mémoriser jusqu’à 8 séquences, pilote presque toutes les marques de magnétoscopes. L’autonomie énergétique est assez bonne avec la batterie fournie. Face à l’UC 4000 (à 3.700 F), préférez le camescope Canon UC5000 dont l’autofocus est bien supérieur.
Une bonne affaire. Ergonomique et efficace, il est doté d’automatismes performants. Une image correcte pour du 8mm.
Bravo pour l’ergonomie de ce camescope Video8 : visée couleur, bonne tenue en main et touches programmables (2 boutons auxquels on assigne 2 fonctions parmi 6).
On regrette la disparition du stabilisateur optique, plus performant, dont était équipé le prédécesseur de ce Canon UC7500 (UC800). Pour 500 F de plus, l’UCX50 est non seulement mieux stabilisé, mais il l’emporte en richesse de débrayages et en possibilités de montage.
Des débrayages peu nombreux le réservent à un usage familial. A ce niveau de prix, on lui préfère l’UCX50, plus attractif et à l’image très supérieure.
Le Canon UC8000 joue l’originalité avec ses réglages semi-automatiques par Flexizone. Ce système exclusif et d’une grande souplesse facilite la vie des débutants sans brider leur créativité.
Pratiques : la torche intégrée, le zoom ×22 doté d’un semi-grand-angle et la batterie NiMh*, qui dure environ 1 h 30 en tournage réel. Ludiques : la foultitude d’effets, dont ceux de colorisation (originaux sur un camescope video 8), le titreur et les titres préenregistrés. L’image est honorable, on apprécie la vivacité de la colorimétrie, mais on constate un léger Jitter sur les plans larges. L’autofocus est correct et la netteté verrouillable.
Un sacré prix d’appel peu un appareil aussi pratique et créatif. Il possède des cartes rares pour un modèle de sa catégorie, comme des effets spéciaux plus riches que ceux des concurrents, une torche, l’astucieux Flexizone.
Bien qu’il soit équipé du même zoom 6 fois, f:1:4, 9-54 mm avec position macro et capteur CCD ½ pouce de 320.000 pixels, le Canovision E80 apporte deux innovations importantes par rapport aux modèles Canon E-70 et Canon E-77. La première de ces améliorations concerne la stabilité de l’appareil de poing (particulièrement aux longues focales) et le confort de visée.
En effet, sur ce camescope video 8, le viseur fixe est remplacé par une poignée-viseur qui tourne autour d’un axe passant par le centre de gravité du boîtier. La rotation s’effectue sur 180°, c’est-à-dire 90° de part et d’autre de l’axe optique de l’objectif, avec huit positions d’encliquetage. De cette manière, et quel que soit l’angle de prise de vues, on garde toujours l’appareil bien en main et l’œil dans le viseur. Pour filmer un enfant à sa taille par exemple, il suffit de tourner le viseur à 90°, le camescope se situant à hauteur de poitrine. Inversement, filmer au-dessus de la foule est possible en dirigeant le viseur vers le bas. Par ailleurs, la télécommande infrarouge (fournie) permet le contrôle de toutes les commandes d’enregistrement et de lecture : zooming, fondu, mémorisation, compteur…
Les autres fonctions se montrent tout aussi élaborées : générateur de caractères, dateur, touche de contre-jour, fondu (au blanc), intervallomètre, retardateur, insertion avec recherche automatique des points de montage, position de tournage en ton sépia, obturateur rapide à deux vitesses (1/500 set 1/1.000 s). Dès la mise sous tension, le camescope se trouve en mode « tout-auto » : autofocus à système infrarouge, mesure multizone de la lumière, balance des blancs automatique (ou mémorisable). Le viseur se révèle très informatif : en dehors des données nécessaires au tournage, il affiche un chronomètre pendant les 10 premières secondes d’une séquence, ainsi que le décompte du retardateur et de l’intervallomètre.
Qualité d’image et son FM dignes du format V-8, ce camescope trouvera très vite un large public de vidéastes que sa belle silhouette, son ergonomie et sa stabilité séduiront. Nous leur conseillons d’acquérir le viseur sportif four filmer à distance.