Ce caméscope numérique mono-ccd de paume Sony est la version mégapixelle de la gamme Sony des DCR-TRV14, 19 et 22. Longtemps resté la référence dans sa catégorie, il est aujourd’hui remplacé par le DCRHC40, qui se différencie par son poids plume, sa compacité et sa focale minimum (46 mm).
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Jusqu’au début du printemps 2004, le Sony DCR-TRV33 figurait au catalogue Sony. Nullement démodé, ce petit modèle de paume mégapixel s’avère une excellente affaire.
Ce caméscope compact à architecture horizontale intègre ses propres marques de fabrique : écran tactile, fonction d’affichage en minutes du niveau de charge de la batterie ou de l’autonomie restante.
L’ergonomie ludique séduit immédiatement pour peu que l’on apprécie l’écran tactile. Néanmoins, l’obligation de procéder à tous les réglages à partir du seul écran peut devenir contraignante si celui-ci tombe en panne. Son successeur, le HC40, est doté d’un écran tactile encore plus lumineux, même en plein soleil. Sur le terrain, l’autonomie de la batterie fournie est confortable, 40 minutes avec écran et 50 minutes avec viseur. Pour bénéficier de durées supérieures, Sony propose des accus optionnels.
Le Sony DCR-TRV33 reproduit de belles images, notamment grâce à son processeur DXP, qui traite le signal sur 14 bits au lieu de 10, ce qui rend les couleurs plus subtiles et la maîtrise des hautes lumières et des parties sombres meilleure. Le zoom optique Carl Zeiss x10 contribue à la très bonne résolution des images (530 points-ligne), mais la focale minimum d’environ 50 mm n’est pas assez grand-angle pour filmer avec peu de recul. Les couleurs sont riches et bien équilibrées, mais la balance des blancs automatique lente à réagir. La sensibilité est faible (7 lux), malgré le réducteur de bruit intégré qui atténue les fourmillements en faible lumière.
A noter que les autres modèles de la gamme, dont les capteurs ne sont pas mégapixels (TRV14/19/22), ont une meilleure sensibilité (5 lux). Dans les environnements sombres, on peut utiliser les vitesses lentes de l’obturateur, entre 1/3 et 1/25 de seconde, au détriment de la fluidité des mouvements, mais en préservant la colorimétrie : Colour Slow Shutter. Ce mode est complété par les fonctions NightShot Light et Super NightShot permettant de filmer dans l’obscurité en noir et blanc. Le mode 16/9 amélioré utilise une plus grande surface sur le capteur CCD, n’imposant pas de bandes noires (letter box) à l’enregistrement, et exploitant pleinement la résolution disponible sur le téléviseur à la reproduction.
Sur le Memory Stick fourni (8 Mo), on peut enregistrer de 15 à 120 photos, en deux tailles (640 × 480 et 1152 × 864) selon deux niveaux de compression. Le Sony DCR-TRV33 stocke aussi de courtes séquences vidéo en mpeg-1 destinées à l’envoi sur Internet (fonction e-movie) et, grâce à sa fonction USB streaming, il est possible de graver des films sur Vidéo CD, via les logiciels fournis. Par ailleurs, l’un d’eux sert à la retouche d’images (Mac/PC).
Le TRV33 permet le montage synchronisé de bande à bande, piloté par infrarouge ou via la prise Lanc, avec mémorisation de 20 séquences. Enfin, un générateur de caractères sait créer et mémoriser deux titres de 20 caractères au maximum, en couleurs (une parmi sept), selon deux tailles et huit positions différentes. Il n’est actif qu’avec une cassette à mémoire.
Côté audio, la stéréo est large avec des aigus précis, mais le microphone interne capte légèrement les bruits mécaniques de l’appareil.
Pour un montage plus précis et plus créatif la meilleure solution sera de faire réaliser une numérisation mini DV dans un premier temps. Après cette opération vous pourrez facilement faire des montages avec un logiciel de montage vidéo. Qu’il soit gratuit, entrée de gamme ou payant, le format de fichier que nous livrons est comptable avec tous les logiciels modernes.
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